24/12/2010
Veillées de Noël 1998 (suite)
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23/12/2010
Veillées de Noël 1998
En attendant le cru 2010, un retour sur l'une des belles veillées organisée à Thiberville pour que la fête de la Nativité soit grandiose et joyeuse :
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10/12/2010
La fête de l'Immaculée Conception
De retour à Thiberville après les travaux, nous avons honoré, dans l'attente de la Naissance du Sauveur, la Grâce de sa Mère Immaculée.
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18/11/2010
Mitre, mensonges et vidéo
Vous pouvez voir ici une entrevue avec Monseigneur Nourrichard :
Plusieurs étrangetés, voire faussetés, ponctuent ce reportage :
- Après plus d'une année de démêlés, voilà tout-à-coup que c'est "parce qu'il a été saisi par des paroissiens" que Monseigneur a décidé de muter l'abbé Michel... Tiens donc ? Le 3 janvier, devant les fidèles de Thiberville justement, n'a-t-il pas dit qu'il poursuivait simplement le remaniement appelé "Paroisses 2000" ? Qui sont donc ces fidèles qui avancent à visage couvert et en arrière-plan ?
- "Il n'en a jamais été question publiquement (dysfonctionnement au niveau finance)" : Rappelons simplement que dans un article de l'Eveil Normand du 13 janvier 2010, il est publiquement fait état de cette plainte et que le procureur de la République de Bernay Renault Gaudeul précise "J'ai été amené à classer le dossier sans suite, précisément parce qu'il n'y a pas eu de plainte déposée par l'évêché, et considérant que si infraction il y a, elle relève du droit canonique; il n'a pas été établi que le prêtre Francis Michel s'est enrichi personnellement".
Et pourquoi cela arrive-t-il maintenant sur le devant de la scène ? Un peu plus de clarté aurait permis de démontrer la fausseté de cette plainte, et peut-être les véritables motivations des plaignants...
- "On fait dire à ce prêtre (l'abbé Vivien) beaucoup plus de choses qu'il n'en exprime" ... L'hostilité du curé de Bernay pour la forme extraordinaire du rite latin n'est un secret pour personne qui l'ait approché, de même que son hostilité pour toute forme de piété traditionnelle (entre autre la dévotion aux reliques lors du pèlerinage à Saint-Benoît lorsqu'il était dans ce secteur). Comment le prêtre de l'équipe pastorale de Bernay pourrait-il célébrer chaque dimanche la forme extraordinaire sous l'autorité d'un curé hostile ? Cela, les fidèles le savent bien, et ne se fient pas aux promesses.
- "Je suis tombé dans une embuscade" : Tel est pris qui croyait prendre ! N'était-ce pas une embuscade que de notifier à un curé dynamique son éviction en pleine période de Noël, sachant que le délai canonique de recours n'était que d'une dizaine de jours ? Monseigneur pourra claironner que Rome lui a donné raison dans les premiers recours, puisque les délais ne pouvaient humainement pas être respectés par un curé plus affairé au bien des âmes qu'à la paperasse !
- "On n'était plus dans le domaine de la foi" : A quel moment y a-t-on été depuis le début de votre procédure Monseigneur ?
- "L'abbé a fait un recours [...] ce qui est son droit le plus strict et que je respecte" : Respect d'autant plus facile, comme nous venons de le dire, lorsque l'on sait qu'avec les activités de la Nativité, l'intéressé a d'autres chats à fouetter et qu'il ne pourra pas respecter les délais. Rappelons que cette question de délais est LA RAISON des premiers rejets de Rome.
- "Je ne suis qu'un serviteur de l'Eglise" : Est-il courant alors, entre serviteurs de l'Eglise, de faire appel à l'Etat laïc pour obtenir au civil ce qu'on ne peut obtenir dans l'Eglise, ce que déjà les Pères de l'Eglise n'auraient pas toléré ?
- "Que la justice suive son cours" : il y a eu, concernant des prêtres agissant dans le diocèse, des faits extrêmement graves, pour lesquels Monseigneur n'a pas fait preuve d'autant de zèle.
- "La plainte a été classée sans suite parce que la personne qui avait déposé plainte est morte" : C'est purement et simplement FAUX ! La personne en question est décédée en septembre 2009, alors que la plainte a été classée en juillet 2009, soit deux mois avant !
- "L'évêque que je suis entend faire valoir la justice et en premier lieu par le biais de l'Eglise" : Pourquoi relancer la plainte civile curieusement plus d'un an après son classement sans suite alors que l'affaire ecclésiale n'est pas close alors ? D'autant que relancer une plainte civile est on ne peut plus simple : quand bien même le dossier serait creux, il sera réexaminé. Pourtant, un évêque ne doit pas "manquer de courage pour faire respecter la vérité". "La présomption d'innocence" ne vaudrait-elle que pour ceux qui vont dans votre sens ?
- "Je tiens à garantir la bonne gestion des comptes" : Rappelons simplement que Thiberville est l'une des paroisses les plus généreuses pour les quêtes diocésaines (notamment celle des vocations). S'il fallait faire rendre des comptes à tous... Thiberville ne serait certainement pas la moins bien placée.
- Quant à l'accusation contre la Fraternité Saint Pie X de chercher à opposer l'abbé Michel à son évêque, elle se passe de commentaire, tant elle est hors de propos.
- "Deux autres lieux de messe extraordinaire" ? A part Saint-Taurin à Evreux une fois par mois, Monseigneur aurait-il un lieu secret ? Ou reconnaîtrait-il "de facto" la messe célébrée par la Fraternité Saint Pie X ?
- "Je l'ai vécu (le rite extraordinaire) dans mon enfance et cela ne m'a pas empêché d'être prêtre" : il eût été heureux que la messe vous ait aidé à être prêtre, non ?
Nous passerons sur la non-réponse quant au scandale de Salisbury... Il est plus facile de se poser en victime de "complots" que de répondre. On voit mal aussi le rapport entre les relations interreligieuses reprochées et Thiberville...
Alors Monseigneur, sous votre calme apparent, tout cela ne cache-t-il pas une profonde insatisfaction, une impatience à attendre que l'Eglise, en Mère pleine de Miséricorde comme vous le dites, se soit prononcée sur le fond de votre acharnement contre l'abbé Michel ? Chercheriez-vous, Monseigneur, à obtenir sur le plan civil la condamnation de notre bon curé que vous n'arrivez pas à obtenir sur le plan ecclésial ?
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12/11/2010
Sermon du dimanche 7 novembre - Fête des Saintes Reliques
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