19/02/2010
Un vicaire général en visite
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18/02/2010
17 février 2010 - Mercredi des Cendres
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17/02/2010
Les Calvaires restaurés !
07:01 Publié dans Rétrospectives | Lien permanent | Commentaires (0)
16/02/2010
Fête de la Sainte Face de notre Seigneur Jésus
La Confrérie de la Sainte Face, fondée à Tours, bénéficie d'une fête propre placée au mardi avant les Cendres. Une lampe brûle constamment dans l'église de Thiberville en l'honneur de la Sainte Face, en lien avec cette Confrérie. En voici l'historique :
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Le samedi 6 janvier 1849 donc, les chanoines de la Basilique Vaticane, ainsi qu'une foule de fidèles, étaient à genoux en présence des Reliques Majeures solennellement exposées. Tous purent soudain observer que sur la “véronique”, l'image estompée devenait de plus en plus nette et reformait le visage vivant de Notre-Seigneur Jésus-Christ : les déformations en avaient disparu, parce que les amplifications dues à l'applatissement des traits avaient retrouvé leur relief! C'était bien le visage de l'Homme des douleurs décrit par Isaïe, non pas dans l'apaisement de la mort comme il apparaît sur le linceul, mais saisi comme par un instantané dans le cours du chemin de la Croix.
En 1849, les pèlerins présents dans la Basilique Saint-Pierre n'avaient bien évidemment pas avec eux d'appareils photographiques pour immortaliser cette manifestation miraculeuse (j'emploie à dessein ce mot de manifestation, puisque le 6 janvier est la fête de l'Epiphanie, mot dérivé du grec et qui signifie justement manifestation - au sens d'apparition -, et que nos frères chrétiens d'Orient nomment encore plus explicitement ce jour “Théophanie”, c'est à dire manifestation de Dieu). Le seul moyen dont on disposait pour garder le souvenir et propager l'image de ce miracle fut donc la gravure : selon les déclarations des témoins, un graveur tenta de rendre les traits de l'apparition et l'on procéda à des impressions (non seulement sur papier mais aussi sur tissu) de l'image ainsi obtenue. Ces reproductions furent données par les chanoines de la Basilique Vaticane avec un certificat d'authenticité portant le sceau de cire rouge du Chapitre.
En France, Monsieur Léon Papin-Dupont, surnommé le saint homme de Tours, reçut une de ces reproductions et l'installa à la place d'honneur dans son salon, bientôt converti en oratoire. En effet les grâces, physiques et spirituelles, obtenues en priant devant cette image et en invoquant la Sainte Face de Notre-Seigneur Jésus-Christ, se multiplièrent rapidement, conformément aux révélations qu'avaient reçues, quelques années auparavant, dans cette même ville de Tours, une carmélite du nom de Soeur Marie de Saint-Pierre. Une confrérie de prière fut établie dans l'oratoire de Monsieur Dupont et il est intéressant de noter que la famille Martin se fit inscrire sur les registres de cette confrérie. La petite dernière, Thérèse, fut profondément marquée par cette dévotion, très implantée au Carmel de Lisieux, et choisit en conséquence de porter en religion le nom de Soeur Thérèse de l'Enfant Jésus de la Sainte Face…
Nous terminerons donc l'évocation de ce miracle en publiant l'une des prières à la Sainte Face écrite par celle qu'un Pape a désignée comme “la plus grande sainte des temps modernes“:
Ô Jésus, qui dans votre cruelle Passion êtes devenu
’’l’opprobre des hommes et l’homme de douleurs’’,
je vénère votre divin visage,
sur lequel brillaient la beauté et la douceur de la divinité,
maintenant devenu pour moi
comme le visage d’un ’’lépreux’’ !
Mais sous ses traits défigurés,
je reconnais votre amour infini
et je me consume du désir de vous aimer
et de vous faire aimer de tous les hommes.
Les larmes qui coulèrent si abondamment de vos yeux
m’apparaissent comme des perles précieuses
que j’aime à recueillir,
afin d’acheter avec leur valeur infinie
les âmes des pauvres pêcheurs.
Ô Jésus, dont le visage est la seule beauté
qui ravit mon coeur,
j’accepte de ne pas voir ici-bas,
la douceur de votre regard,
de ne pas sentir l’inexprimable baiser
de votre bouche sainte ;
mais je vous supplie d’imprimer en moi
votre divine resemblance,
de m’embraser de votre amour,
afin qu’il me consume rapidement
et que j’arrive bientôt à voir
votre glorieux visage dans le Ciel.
Ainsi soit-il.
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Vous trouverez sur le blog du Mesnil-Marie d'autres explications sur cette dévotion à la Sainte Face (et bien d'autres dévotions d'ailleurs). Grand merci au Frère Maximilien-Marie.
Bonne entrée en Carême à tous les amis de l'Abbé Michel.
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La choucroute paroissiale
Puisque le Carême commence demain, il nous reste aujourd'hui l'occasion d'évoquer les repas paroissiaux.
Notre cher Curé a toujours porté le plus grand soin à entretenir la convivialité, signe important de la Vie d'une paroisse, en complément de l'assistance aux offices. Ce fut le plus souvent une choucroute :
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