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23/10/2010

Paix liturgique - 15 octobre 2010

APPLICATION DU MOTU PROPRIO : LE TEMPS DES CURÉS ?

Commentant l'accroissement rapide du nombre des messes célébrées selon la forme extraordinaire du rite romain en Italie, nous écrivions dans notre lettre 240 qu'un « grand nombre de ces nouvelles célébrations, il est bon de le signaler, car cela distingue l'Italie de la France, sont le fait non pas d'un groupe de laïcs mais de la propre initiative du curé du lieu ». À l’inverse, en France, l'application du Motu Proprio Summorum Pontificum a jusqu’ici été presque toujours l'affaire des fidèles qui ont fait des démarches – souvent un véritable parcours du combattant – pour obtenir de leurs curés une application du Motu Proprio.

Il faut dire que les quelques curés de paroisse qui ont tenté de mettre en œuvre le texte pontifical de leur propre chef au sein de leurs communautés paroissiales, ont rapidement été rappelés à l'ordre par leur évêque tutélaire. L’exemple de l’abbé Michel, curé de Thiberville, célébrant les deux formes de l’unique rite romain, persécuté par son évêque Monseigneur Christian Nourrichard est un cas d’école en la matière (http://thiberville-soutien-abbe-michel.hautetfort.com/).

Cependant, il se pourrait bien que la situation soit, doucement mais sûrement, en train d'évoluer. Quelques curés de paroisse ont commencé à introduire le missel traditionnel dans leur calendrier paroissial, pour l’heure souvent en semaine certes, mais avec courage, persévérance et enthousiasme. D'autres franchissent le pas, ouvrant leurs célébrations paroissiales dominicales à la forme extraordinaire de l’unique rite romain.

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