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06/08/2010

Eglise d'Evreux - 12 juillet 2010

● L'année sacerdotale ... par Mgr Christian NOURRICHARD 

L'année sacerdotale est officiellement terminée depuis le mois de juin. Elle nous a permis :
   ● de mieux comprendre la place inestimable des prêtres dans la mission de l'Eglise,
   ● de les soutenir : par notre prière, par notre collaboration, par nos gestes concrets de respect et d'amitié !

Bien évidemment notre démarche se poursuit au-delà de cette année !

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Effectivement :

1er juillet 2010 : Communiqué menaçant l'abbé Michel de suspens a divinis

28 juillet 2010 : "Le couperet va tomber"

 

05/08/2010

La Croix.com - 5 août 2010

La situation est toujours bloquée à Thiberville



Depuis un an, un conflit oppose le curé de Thiberville (Eure), le P. Francis Michel, à l’évêque d’Évreux, Mgr Christian Nourrichard. Le P. Michel, soutenu par de nombreux paroissiens, refuse catégoriquement sa mutation, décidée dans le cadre du regroupement des paroisses du diocèse

« En cours de renouvellement. » Ce message laconique, placé depuis plusieurs mois sur le site Internet du diocèse d’Évreux devant le nom du coordinateur de la communauté de Thiberville, en dit long sur la situation de la petite bourgade normande, toujours secouée par un conflit ouvert. En cause : la décision de la rattacher à un ensemble plus vaste Notre-Dame de Charentonne, dans le cadre du regroupement des paroisses qui concerne tout le diocèse, et de révoquer le P. Michel, son curé depuis vingt-trois ans.

Bien qu’ayant accepté par écrit en 2008 sa mutation pour l’année suivante, ce dernier refuse depuis un an de quitter ses paroissiens. Après un esclandre violent lors de la
visite de Mgr Christian Nourrichard, le prêtre a continué à officier dans l’église de Thiberville, régulièrement pleine à craquer.

Deux recours refusés

Le P. Michel a déposé à Rome deux premiers recours auprès de la Congrégation pour le clergé et du Tribunal suprême de la Signature apostolique. Tous deux ont été rejetés, les 18 mars et 26 mai. Fort de ces rejets, l’évêque lui a demandé une nouvelle fois de quitter Thiberville, et ce « avant le 26 juillet », sous peine d’être suspendu. Mgr Nourrichard rappelant même, dans un communiqué publié le 1er juillet, avoir fait plusieurs propositions d’autres ministères au P. Michel, qui les a toutes refusées.

Nouveau refus. Nouveau rebondissement : le « comité de soutien de l’abbé Michel » a annoncé le 22 juillet sur Internet que le Tribunal suprême de la Signature apostolique « a donné droit » au P. Michel « d’exposer sur le fond ses réclamations, en acceptant le recours qu’il avait présenté ». « Rome va se pencher sur ma demande d’appel, a confirmé le prêtre à la fin de la messe dominicale du 25 juillet. Non pas, comme jusqu’à présent, sur la forme, mais sur le fond, c’est-à-dire sur la foi, la liturgie et sur vous, mes frères. »

Rome, pour le moment, ne lui a pas donné raison, mais étudie ce troisième recours, qui porte non plus sur le décret de révocation du curé, mais sur le décret antérieur, décidant du regroupement paroissial. « Prenons le temps d’attendre la décision de Rome », a dit la semaine dernière Mgr Nourrichard, visiblement las de cette affaire qui défie son autorité.

Le Père Michel très soutenu

Certains voudraient voir dans la décision épiscopale une motivation idéologique. Soutenu par des fidèles traditionalistes, le P. Michel, 61 ans, célèbre depuis longtemps en latin et tourné vers l’autel (mais non en rite tridentin). À en croire des blogs de soutien au P. Michel, ce conflit opposerait un prêtre « traditionaliste qui gagne des âmes à Dieu » à un évêque « progressiste ».

Ce qu’on dément à l’évêché d’Évreux, déplorant une « instrumentalisation » de l’affaire qui divise l’Église locale. « Dès son arrivée dans le diocèse en 2005, peut-on lire dans un communiqué publié vendredi, Mgr Nourrichard a reconnu la célébration de la messe selon le rite ancien, en latin, appelé “rite extraordinaire”, chaque dimanche à Thiberville. Et, en totale conformité avec la décision de Benoît XVI, il a garanti le maintien de cette messe après le départ de l’abbé Michel. »

Eveil Normand - 4 août 2010

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Pourquoi tant de... "mauvaise de foi" ?
 
Monseigneur feint de ne pas comprendre ce que signifie que le dossier "abbé Michel" n'ait jamais été OUVERT... C'est tout simplement que les trois recours rejetés ne l'ont pas été pour leur contenu, mais simplement pour des questions de délais ! Contrairement à ses affirmations, sa décision n'a donc jamais été AVALISEE par Rome !
 
Mgr a peut-être autorisé une messe "extra" à Evreux... Mais une fois par mois dans la ville cathédrale, quelle générosité ! Il y a surtout imposé la communion dans la main sous prétexte de grippe ! Celle de Thiberville existait déjà avant son arrivée, il s'est contenté d'attendre quelques années avant de lancer les premières attaques.
 
Question subsidiaire : Lequel des prêtres de Bernay serait donc en mesure de célébrer la forme extraordinaire ?

04/08/2010

Jubilé de Montmartre (suite)

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03/08/2010

1996 - Première messe de l'abbé Debourges, ICRSP

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