Radio Notre-Dame - 8 janvier 2010

Merci @ Camille

L'avenir de Thiberville avec Jean Vivien 2

Après les photos qui laissent présager des églises vides (puisque la vingtaine de fidèles de restant autour de Jean Vivien venait de Bernay)...

Une paroisse ruinée !

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Certes l'argent ne fait pas la vitalité d'une paroisse, mais il est le "nerf de la guerre" pour mettre en place de belles choses, et il est surtout le reflet de l'appréciation des fidèles !

On remarquera que le secteur de Thiberville, avec moins de 5000 habitants, a donné environ la moitié de celui de Bernay, pourtant sous-préfecture, comptant plus de 15000 habitants.

A comparer également, l'absence totale d'attributions diocésaines à l'abbé Michel (aucune surprise, le fait qu'aucun séminariste diocésains ne lui a jamais été confié, et la plétore d'attributions de Jean Vivien :

Aumônier, SAINT-AUBIN-LE-VERTUEUX - Maison de Retraite

Membre(s) au Conseil diocésain des affaires économiques

Curé, membre EAP, Paroisse Notre Dame de Charentonne

Délégué Diocésain, Mission rurale - Carrefour Rural

Vicaire épiscopal

Membre du Conseil épiscopal

Délégué National pour la mission en monde rural, Mission rurale - Carrefour Rural

Membre de droit au Conseil presbytéral

Bureau à l'Association diocésaine

Les Manants du Roi - 7 janvier 2010

Sous le regard aimant de Jean-Marie Vianney...

Quand le « Petit peuple de France » se rebelle...  Il tient à son clocher, à ses traditions, à son curé ! A Thiberville me direz-vous, mais aussi dans bien d'autres « pays » de France...  Souvenons-nous que dans des temps anciens, le « Petit peuple de France » s'est aussi réveillé quand l'hydre révolutionnaire a bafoué, violé sa foi... Et ce même « petit peuple », qui depuis des temps immémoriaux a toujours su faire la grandeur de la France, en est venu tout naturellement pour défendre ses libertés piétinées, à défendre son roi. Le Roi de France !

Bien sûr, il appartient à Rome de dire la justice dans cette affaire...
Mais si le « petit peuple de France » prenait la mesure de toutes ses libertés piétinées ?...

Portemont, le 7 janvier 2010

Dépêche AFP du 6 janvier 2010

Selon Mgr Nourrichard, le père Francis Michel a refusé de quitter ses fonctions de curé de Thiberville alors que sa paroisse devait être rattachée à un regroupement plus vaste.

"Aujourd'hui, avec le manque de prêtres, il n'est pas concevable d'avoir un prêtre pour 5.000 habitants", assure Mgr Nourrichard.
Note : Si le véritable argument est celui-ci, pourquoi ne pas avoir proposé à M. l'abbé quelques églises de plus à desservir ? Cela aurait été très lourd pour lui car il se démène pour les desservir bien ! Mais surtout cela lui aurait permis de faire un peu de bien ailleurs ! ... Ca non alors !

Le maire DVD de Thiberville, Guy Paris a pris fait et cause pour ce curé qui officie dans cette localité et les douze communes avoisinantes depuis 23 ans. "Avec ce curé qui dégage beaucoup de charisme, tout se passe très bien, les églises sont remplies et les gens viennent parfois de très loin pour l'entendre dire la messe", assure-t-il.

Selon cet élu, une pétition demandant le maintien du père Francis Michel a réuni 4.000 signatures, recueillies parfois bien au-delà de Thiberville.

L'évêque estime que ces évènements sont "très graves" et regrette l'attitude des élus qui soutiennent le prêtre. "Ces élus sortent de leurs responsabilités pour s'immiscer dans la mienne", estime-t-il.

De son côté, le maire estime qu'il ne peut rester "indifférent" à ce qui se passe dans la commune. "L'Eglise et l'Etat sont séparés en France mais les collectivités sont souvent sollicitées pour réaliser les travaux de réparations dont les coûts sont prohibitifs", indique-t-il.

"Procès Verbal" de la journée du 3 janvier par le Chancelier de l'évêché

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Vous remarquerez le faux : "pas de procession d'entrée",

et les inepties du genre : "le calice est sur l'autel, sous le voile", il va falloir célébrer "dos à l'assemblée".

Ils diront après ça que le rejet de la tradition n'est pas le nerf de cette attaque contre notre curé ?

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Pour l'abbé Decraene, redisons-le. Célébrer, « ad orientem » revient à célébrer vers Dieu et non célébrer « dos à l'assemblée » qui visiblement n'est même plus le « peuple de Dieu », notion pourtant toute conciliaire.
On conseillera aux paroissiens de Thiberville de se cotiser et d'acheter au Chancelier de l'évêché d'Évreux, le livre du Père Lang, aujourd'hui membre de la Congrégation du Culte divin : Se tourner vers le Seigneur, essai sur l'orientation de la prière liturgique (Ad Solem). La préface est d'un certain Joseph Ratzinger. Mais l'abbé-chancelier connaît-il ce dernier ?