"Quelques villages de l’Eure et un curé de campagne, en soutane et disant ses messes en latin. Hé ! bien c’est fini. Ça en a fait couler de l’encre.
Comment pouvait se terminer ce bras de fer entre cet abbé à la Montgomery et l’évêque du Diocèse et ses nombreux et puissants partisans d’une Eglise moderne? C’était Une histoire ancienne depuis le Chamblac.
Les dés sont jetés. Le chapitre de cette querelle de clocher est clos.
Ce n’est pas un curé de villages, et de chapelles de hameaux, qui vont disparaître au profit des villes urbaines (désertification du milieu rural) qui pouvait arrêter le rouleau compresseur de l’Eglise nouvelle.
Ce ne sont pas non plus des « gens » comme disait l’évêque pour parler des paroissiens de Thiberville et ses communes formant la paroisse de l’abbé Francis Michel, en oubliant que ces agriculteurs sont des chrétiens attachés à des coutumes anciennes rurales de l’Eglise certes mais des fidèles laïcs, des membres de l’Eglise Catholique, qui pouvait changer grand-chose devant des administrateurs zélés, aux premières places hiérarchiques du Diocèse.
Déjà, en son temps, l’abbé Bernard Alexandre (le Horsain, 1988) voyait bien venir le déclin des paroisses anciennes rurales. La fin d’une Eglise à l’autrefois."
