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20/02/2012

Summorum Pontificum - 2 février 2012

Dimanche dernier, jour de la saint François de Sales dans le calendrier de la forme extraordinaire, deux nouveaux diacres ont été donnés à l’Église par l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre. Il s’agit de l’abbé Sébastien Goupil et de l’abbé Louis Valadier, lesquels devraient être prochainement ordonnés prêtre. L’ordination diaconale leur a été conférée par Mgr Lucianno Giovannetti, évêque émérite de Fiesole.

Signalons juste que l’abbé Louis Valadier est le fils du directeur de l’École Saint-Dominique au Pecq, Michel Valadier. Cette école fournit chaque année un fort contingent de séminaristes à l’Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre. 

NB: L'abbé Sébastien Goupil et son frère le Chanoine Frédéric Goupil sont originaires d'Evreux. Précisons qu'il n'est jamais évoqué dans les publications du diocèse d'Evreux l'existence de nombreuses vocations locales dans diverses communautés, fraternités et instituts de sensibilté charismatique ou traditionnelle. L'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre compte actuellement un prêtre, un diacre et un séminariste de première année tous originaires du diocèse d'Evreux.

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L'abbé Sébastien Goupil, Monseigneur Giovanneti et le Chanoine Frédéric Goupil

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Le Chanoine Frédéric Goupil et son frère l'abbé Sébastien Goupil

D'autres photographies sont disposnibles sur le site de l'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre.

19/02/2012

L'hiver est rude dans l'église du Planquay

Le bénitier dimanche dernier, à l'intérieur de l'église...

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18/02/2012

Adoration des Quarante heures

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17/02/2012

Jeudi 1er mars 2012 - Récollection

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Père Pascal Marie, chapelain de la basilique de Lisieux

16/02/2012

Le Pain Béni

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Le pain béni est une coutume très ancienne qui a son origine dans le fait qu'autrefois pour communier, il fallait être à jeûn depuis minuit. Ce pain avait donc pour but de soutenir les fidèles. Il est consommé aussitôt après la communion. Avant de le manger, les fidèles font le signe de la croix. En certains lieux on disait "Pain béni je te prends, si je meurs, sert moi de Sacrement".

Ce pain peut être mangé par tous à la différence de la communion qui ne peut être reçue que par les baptisés qui sont en état de grâce. Ce pain a généralement la forme d'une couronne qui après la bénédiction est découpée en petits morceaux.

Ce pain béni était jadis distribué tous les dimanches et offert par une famille. Monsieur le curé annonçait en général le nom du donateur. Le pain ou parfois les pains selon l'importance de l'assistance forment alors une pyramide dominée par une main (brioche en forme de main) réservée pour Monsieur le curé.

Cette bénédiction se fait à l'offertoire. Le pain est présenté par une personne dans une corbeille ornée ou une civière portée par deux personnes. Pendant la distribution les chantres chantaient Ubi Caritas et Amor Deus ibi est - Là où est la charité Dieu est présent. Ce pain a donc aussi pour but d'établir un lien entre les fidèles.

On voit sur le tableau (ci-dessus) les chantres (souvent 3) revêtus de la chape, assis sur de hauts tabourets (les tabourets de chantre) en forme arrondie pour permettre d'étaler la chape. Ils sont devant un lutrin (pupitre supportant le livre appelé antiphonaire, livre contenant les chants liturgiques).

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