Mieux vaut-il être musulman ? - Perepiscopus 31 janvier 2011

Dans le diocèse de Mgr Nourrichard, il vaut mieux lire le Coran

L’abbé Francis Michel a rencontré son évêque la semaine dernière. L’histoire est terminée : il est prié de déguerpir pour le 20 février, dernier délai. La paroisse de Thiberville est dissoute et les paroissiens dépendront désormais de celle de Bernay.

Dans le journal diocésain du 13 décembre, on apprends qu’une célébration interreligieuse des Noëls de la Solidarité fin décembre 2010, a vu la lecture du livre d’Isaïe et la lecture de la Sourate 4 du Coran, avant la lecture de l’Evangile. Le début de cette messe a eu pour chant d’entrée « Oser la vie » de Theo Mertens… Le mot d’accueil disait ceci :

Noël, c’est l’anniversaire de la naissance de Jésus (Issa). Dans le Coran, Jésus le Messie, est né d’une façon miraculeuse. Le jour de sa naissance, il a déjà parlé aux gens de la mission que Dieu lui a confiée, afin de laver tout soupçon d’impureté contre sa mère (v 30 à 34 s 19)

C’est symptomatique d’un remplacement : on ferme les paroisses catholiques, on laisse se développer l’islam. Le diocèse de Mgr Nourrichard a cessé d’être missionnaire.

Annonces pour le mois de février 2011

Annonces pour la semaine du 31 janvier au 6 février 2010

 

 

Horaire des messes du Dimanche 30 janvier

Messes aux horaires habituels:

10H - Thiberville

11H15 - Saint Vincent du Boulay

17H - Thiberville

Je t'écris de Bernay - blog d'un chrétien voisin - 20 janvier 2011

La fin de "l'affaire de l'abbé de Thiberville"

"Quelques villages de l’Eure et un curé de campagne, en soutane et disant ses messes en latin. Hé ! bien c’est fini. Ça en a fait couler de l’encre.

 

Comment pouvait se terminer ce bras de fer entre cet abbé à la Montgomery et l’évêque du Diocèse et ses nombreux et puissants partisans d’une Eglise moderne? C’était Une histoire ancienne depuis le Chamblac.

 

Les dés sont jetés. Le chapitre de cette querelle de clocher est clos.

 

Ce n’est pas un curé de villages, et de chapelles de hameaux, qui vont disparaître au profit des villes urbaines (désertification du milieu rural) qui pouvait arrêter le rouleau compresseur de l’Eglise nouvelle.

 

Ce ne sont pas non plus des « gens » comme disait l’évêque pour parler des paroissiens de Thiberville et ses communes formant la paroisse de l’abbé Francis Michel, en oubliant que ces agriculteurs sont des chrétiens attachés à des coutumes anciennes rurales de l’Eglise certes mais des fidèles laïcs, des membres de l’Eglise Catholique, qui pouvait changer grand-chose devant des administrateurs zélés, aux premières places hiérarchiques du Diocèse.

 

Déjà, en son temps, l’abbé Bernard Alexandre (le Horsain, 1988) voyait bien venir le déclin des paroisses anciennes rurales. La fin d’une Eglise à l’autrefois."